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inoussa
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Retrouvez ici l'actualité comorienne en temps réel. Ce blog est aussi un espace de libre expression.
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02.08.2007
Dernière mise à jour :
11.04.2012

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8 mars, journée de la femme: Zoom sur trois femmes

8 mars, journée de la femme: Zoom sur trois femmes

Publié le 09/03/2010 à 20:58 par inoussa
Moroni, mardi 9 mars 2010 (HZK-Presse) A l’occasion de la célébration de la journée internationale de la femme le 8 mars, dont la cérémonie officielle a été reportée à une date ultérieure par les autorités, la Gazette des Comores et HZK-Presse sont partis à la rencontre de quelques représentantes de ce qu’on a trop souvent désignée comme « le sexe faible ». Trois femmes évoluant dans des secteurs différents ont accepté de nous parler de leurs activités quotidiennes et de cette journée dédiée aux descendantes d’Eve.

Nourou Soibaha Barwane, commerçante de mère en fille

Elle tient son magasin spécialisé dans l’alimentation près de Volo-volo, le grand marché de la capitale. Elle est, sans doute, parmi les femmes d’affaires qui comptent au niveau national. Elle, c’est Madame Nourou Soibaha Barwane qui est, également, présidente de l’association des femmes de Moroni. Cette femme s’est lancée dans les activités commerciales depuis 12 ans déjà. Une activité entrecoupée, néanmoins, par des moments de relâchement liés à l’éducation de ses enfants.

« Au début, c’était une petite affaire mais elle m’avait déjà ouvert des portes auprès des banques », se rappelle fièrement, cette femme issue d’une famille de commerçants. C’est depuis 2004, que cette mère de cinq enfants a repris à plein temps ses activités. Aujourd’hui, cette femme commerçante se réjouit de la « réussite » qu’elle a enregistrée dans le cadre de son travail. Une réjouissance nuancée, toutefois, par la crise économique qui touche le pays en général et qui a entrainé « des régressions » dans ses affaires.

Pour Nourou Soibaha Barwane, le 8 mars est une « grande journée pour les femmes ». Elle reflète, selon elle, l’image de la « femme au devant de la scène ». « La femme actuelle, combattante et militante dans la vie économique, politique, sociale et familiale », poursuit-elle se félicitant du fait « qu’avec le temps la femme comorienne s’intègre dans les activités qui étaient jusqu’ici réservés aux hommes ». Cette présidente de l’association des femmes de Moroni constate que « l’intégration de la femme comorienne se fait à une vitesse qu’on était loin d’espérer ». C’est donc, avec un grand espoir, qu’elle souhaite que les femmes soient « associées dans le cercle des décisions nationales ». Bref, celles-ci, doivent aussi avoir leur mot à dire dans la gestion des affaires publiques, au même titre que les hommes.

Halidi Fatouma, créatrice-modéliste

« C’est une femme qui bouge beaucoup », c’est ainsi que nous l’a présentée une de ses connaissances. C’est dans son atelier sis au quartier « Sans fil » à Moroni que madame Halidi Fatouma exerce son activité démarrée depuis 21 ans. Ce bout de femme énergique bardée de ses diplômes décrochés en France notamment un « Cap en couture flou, un brevet technique en création et mode et un brevet professionnel en technique de coupe », a ouvert, depuis 1989, l’enseigne « Halfat style » à Moroni.

C’est ici, qu’elle confectionne et expose ses modèles réalisés sur des tissus typiquement comoriens. Avant d’ouvrir son affaire à Moroni, Halidi Fatouma, a parcouru différentes entreprises dans l’hexagone où elle a effectuée des stages, histoire de s’imprégner des différentes activités dans son domaine. Arrivée au pays elle décide de lancer son entreprise personnelle où elle a recruté plus d’une dizaine d’employés. Elle a, en même temps, formé plusieurs autres femmes dans la confection et la couture, soit quatre apprenties par une année et demie. Apparemment son affaire a, jusqu’ici, bien évoluée.

« J’ai réalisé plein de choses grâce à mes activités », se réjoui cette mère de deux enfants. Cette créatrice modéliste comorienne a participé à son premier défilé de mode, en 1989, dans l’île de la Réunion où elle a présentée une quarantaine de modes de l’archipel. Elle avait alors décroché la 2 ème place dans cet évènement culturel qui avait réuni les pays de l’océan indien. Néanmoins, son activité semble battre un peu de l’aile à cause de la crise économique. Pour elle, la journée de la femme devrait « servir de tremplin à la gente féminine pour mieux s’imposer dans les cercles de prise de décisions nationales ».

Soifiat Mnémoi, « c’est à la radio que j’entend parler de cette journée »

Elle ne connaît pas les salons des hôtels, les séminaires et autres événements mondains. Elle ne côtoie pas les grandes autorités du pays comme les autres. Et pourtant, c’est très fièrement qu’elle vit sa condition. Elle c’est Soifia Mnémoi. Cette femme de 40 ans vivant dans la capitale. « La journée de la femme », elle ne « l’entend parler qu’à la radio ». Femme de ménage chez une famille aisée de la capitale, elle s’adonne aussi parfois au métier de lavandière, le dimanche surtout, pour pouvoir boucler ses fins de mois. « Je ne souffre pas beaucoup comme certaines de mes amies. Je me débrouille beaucoup et mon enfant me soutient aussi », explique cette femme.

S.A.

:: Les commentaires des internautes ::

Maoulana Abdillah(Foumbouni) le 10/03/2010
E crois que la femme Comorienne mérite d'aller loin avec ses diplomes amassés,elle est égale à l'homme dans l'optique de passer les concours comme tous les hommes.Ma grande surprise c'est lorsqu'on parle de la considérer comme extra-terreste.
Femme comorienne,tes qualités sont prouvées à la Faculté des sciences,décomplexées vous à manier votrelangue pour prendre le destin de votre pays comme Le libéria voisin!
Je réfuse aux "hommes" animés d'animosité de penser que la femme est objet de satisfaction physique,mon cher ami,cette jolie est ma fille:tu peux l'épouser.Enfin je raconte une histoire:un chef de service entraine sa collégue dans une embuscade pendant la coupure d'électrité pour la violer,et la fille diplomée a dit ceci"dragues-moi comme homme intélligent",donc les femmes prenez vos places sans complexe.


lali le 10/03/2010
À Son Excellence, Monsieur le Président de l’Union des Comores
Beit Salam Moroni Ngazidja

Excellence,
Avec tous les respects dus à un Président élu des Comores, je viens vous souhaiter « bon anniversaire ».

Cependant, je dois vous avouer que vous avez déçu la plus grande partie de la population qui avait cru en vos belles paroles mielleuses, sucrées drapées dernière votre tenue de l’homme de religion.

Beaucoup de choses que vous nous avez promises, surtout nous, membres de l’association de femmes de Mutsamudu, lors des réunions de campagnes électorales qui se déroulaient dans votre maison ? Rien n’a été réalisé. Ce qui me fait vraiment mal au cœur, c’est toutes ces promesses non tenues, même UNE ? Et vous avez encore le courage de venir fêter votre 3ème anniversaire de votre arrivée au pouvoir dans un stade de Missiri encore découvert, alors que vous avez juré que vous ne mettrez plus jamais vos pieds dans cette enceinte avant qu’elle soit couverte de tôles et ces tôles étaient déjà dans les containers au port de Mutsamudu ! Cela est une déclaration lors de la dernière fois que vous êtes venu jouer au basket avec les jeunes de Mutsa.

Quelle honte ? Parfois, je commence même à me demander si vous savez ce qu’est la honte ?

En plus, je ne comprends pas cette obsession sexuelle qui est en vous ! Au départ, je m’étais dit que, c’est comme beaucoup d’hommes et que serait temporaire. Que non ! Un Président qui passe le gros de son temps à vouloir faire l’amour, surtout au téléphone avec des simulations ********* précise du genre : « je te vois toute ***, descends encore ton soutien et je contemple le bout de ton **** gauche et puis de droite. Bien, maintenant montre moi tout ton corps doré comme une tomate mure, ton nombril, et ta chatte ! Ah ! J’explose, je suis cuit, je jouis, je jouis… ».

Qui est ce Président qui passe son temps à coucher avec toutes les femmes et filles qu’il rencontre y compris celles de ses proches ? Et se termine toujours sans aucun signe de reconnaissance ?

Il me semble que la fonction de Président a perdu toute sa valeur avec Vous, parce que vous manquez le courage d’honorer vos engagements et un Président coureurs de jupons, c’est grave pour une personne qui se dit « Foundi ».

Mutsamudu, votre ville natale, a honte à votre place d’avoir produit un Président de ce genre. Mutsamudu était heureuse d’avoir pour la première fois un de ses fils prendre la fonction suprême du pays et espérer de gagner quelque chose, comme d’autres villes avant. Que la misère, honte et désolation. Mutsamudu avait espéré, elle déchante maintenant. Même les membres de mon association qui avaient tout donné me regardent avec un regard accusateur et ironique et j’ai envie de vomir quand je pense à tout cela. Et vraiment, heureusement, le ridicule ne tue pas. Vous venez d’organiser le référendum qui n’a ni tête, ni *****. Pas grand monde n’est allé voter. Vous avez quand même remarqué dans votre bureau de vote, les personnes ne se précipitaient pas. Vos amis, familles et mercenaires payés ont voté à la place des morts et des vivants restés chez eux réfléchir comment et où trouver quelque chose à manger avec cette état de misère dans lequel vous avez plongé le pays et surtout Anjouan depuis votre arrivée au pouvoir.

J’entends que vous voulez organiser les élections des députés. Arrêtez ces bêtises. Vous avez vu comment les gens ont refusé de voter votre référendum. Et je suis sure que les gens n’iront pas voter et combien de temps vous allez continuer à prendre en otage la plus grande partie de la population, excepté vos corrompus, famille et amis ?

En bon soutien que je fus pendant la campagne de votre élection, je reste franche et sincère en votre personne, je vous demande de laisser le pays aux autres citoyens prêts à relever le défi, Veuillez roire Son Excellence, en ma franchise patriotique.

Mme Fatima Allaoui

15:05 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)


Mohamed Nourdine le 10/03/2010
C'est fou ce que les gens qui n'ont fait aucune preuve de leur intelligence s'acharnent sur les autres dès qu'ils font une remarque intelligente. Moi, je suis de Moroni et j'ai du respect pour Riziki car il a le talent et le courage de dire ce que les poules mouillées qui le critiquent bêtement ne pourront jamais dire, peut-être parce qu'ils couchent dans les prés avec le pédé de Sambi. Savez-vous que même le type qui a été nommé président de l'assemblée des Comores fait l'amour avec le prétendu "foundi" Sambi? Ce poste lui a été accordé en raison de la joie qu'il apporte à Sambi quand ils font l'amour.


Anonyme le 11/03/2010
Un vrai Mohélien n'aurait jamais vendu les intérêts de son île. Mais, ce qu'on ne dit pas, c'est que le trio infernal se prostituant devant Sambi est constitué de gens qui ne sont pas de vrais Mohéliens: Dhoinine Ikililou a un grand-père maternel anjouanais, Oukacha est de mère anjouanaise, Fouad Mouhadji de père anjouanais.


Mouhidini Mfoihaya le 11/03/2010
Qui vole dans les champs, les boutiques et les maisons à Mohéli? Les Grands-Comoriens et les Anjouanais. Qui vole à la Grande-Comore? Les Anjouanais. Qui vole à Mayotte? Les Anjouanais. Qui vole à Anjouan? Il n'y a rien à voler à Anjouan, en dehors de la misère et de la mendicité, malheurs qui ne se volent pas.


Toilaanti Abdoulatuf le 11/03/2010
La haine envers les Mohéliens vous conduit à dévoiler votre bestialité. Il est normal qu'un enfant d'un pays donné soit indigné quand on essaie d'humilier son pays natal. Toute personne digne de ce nom ferait pareil. Si, dans votre immense connerie, vous jugez Riziki comme vous le faites, et si vous croyez qu'il est idiot, alors j'aimerais être idiote comme lui et non intelligente comme vous. Quelles sont vos références, bande de jaloux? Comme l'a dit Pierre Vérin, qui connaît bien les Comores, ce sont les Comoriens qui n'ont rien produit qui s'attaquent à ceux qui produisent quelque chose. S'il y a des gens qui trouvent que Sambi et ses Wana-wafitri sont des gens sérieux, qu'ils louent un bateau et qu'ils aillent créer un Etat, mais hors des Comores. Croyez-vous que ce que Sambi n'a pas fait en 48 mois, il le fera en 18 mois? Moi aussi, je souhaite l'assassinat de Sambi et de sa bande de pédés.


Antufa Djamaldine, Moroni le 11/03/2010
Vous parlez, vous parlez! Mais, pourquoi vous n'envoyez pas vos Thèses de Doctorat à Sambi? Vous ne pouvez pas parce que vous n'avez rien écrit et vous n'écrirez rien. C'est connu. Si quelqu'un a écrit une Thèse, c'est normal qu'il en parle. Vous, vous ne pouvez étaler que votre haine primaire, une haine qui se nourrit de votre ignorance, bande de cons. Apprenez au moins à faire des phrases correctes en français.